Os jornalistas franceses envolvidos na cobertura da recente guerra no Iraque não se mostram particularmente satifseitos com o balanço do trabalho realizado. Num recente colóquio organizado no Centre d' Accueil de la Presse Étrangère, pelo sociólogo Jean-Marie Charon- de que Le Monde se fazia eco, há dias - o factor determinante para as limitações apontadas residiu nos constrangimentos impostos de um e outro lado do conflito. "Certains ont vécu la guerre en Irak dans le huis clos de l'hôtel Palestine à Bagdad, d'autres ont partagé le quotidien des troupes américaines et britanniques (les "embedded"), d'autres ont avancé en indépendants (les "unilaterals"), dans la foulée de l'armée. Au total, pourtant, peu de journalistes ont observé de leurs propres yeux le véritable engagement militaire pendant les trois semaines qu'a duré la guerre en Irak. Ils n'ont pas été davantage les témoins directs des effets des 30 000 bombes lâchées par les forces de la coalition".
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